Voilà cela fait 3 mois consacré au reggae d’Afrique sur Arkayog. Un vrai voyage musical à travers tout le continent Africa. Et ceux depuis le 30 novembre.
Un hommage au reggae créer sur le continent africain, ainsi qu’à ces pionniers, alpha Blondy, ismael Isaac, Lucky Dube. Une découverte (ou redécouverte) d’artistes né et vivant en Afrique ainsi que tous ceux qui sont aller enregistrer et vivre leur musique en Europe et en France comme nzela qui vit a paris notamment. Ainsi qu’à ceux qui on fait la rapatriation, Manjul par exemple.
Un reggae qui rend aussi hommage aux dialectes et langues parler en Afrique comme avec beta Simon qui chante en bété ou alpha blondy dont le premier reggae est chanté en djoula.
Une mise en valeur de la richesse millénaire de l’Afrique et des traditions notamment musicale tant développés en Africa.
Ainsi le reggae créer en Jamaique par les descendants d’esclaves africains revient sur sa terre mère, « mama africa » pour se propager à nouveau dans le monde entier.
Music reggae plays every where in the world…
Un reggae rester suspendue à l’époque de bob Marley, rempli de bonne vibration de sagesse et propageant un vrai message de paix.
Le livity rasta a trouvé sa place en Afrique, de plus les artistes musiciens du reggae africain connaisse l’Afrique, il chantent ses problèmes, et son espoir.
Un hommage au reggae créer sur le continent africain, ainsi qu’à ces pionniers, alpha Blondy, ismael Isaac, Lucky Dube. Une découverte (ou redécouverte) d’artistes né et vivant en Afrique ainsi que tous ceux qui sont aller enregistrer et vivre leur musique en Europe et en France comme nzela qui vit a paris notamment. Ainsi qu’à ceux qui on fait la rapatriation, Manjul par exemple.
Un reggae qui rend aussi hommage aux dialectes et langues parler en Afrique comme avec beta Simon qui chante en bété ou alpha blondy dont le premier reggae est chanté en djoula.
Une mise en valeur de la richesse millénaire de l’Afrique et des traditions notamment musicale tant développés en Africa.
Ainsi le reggae créer en Jamaique par les descendants d’esclaves africains revient sur sa terre mère, « mama africa » pour se propager à nouveau dans le monde entier.
Music reggae plays every where in the world…
Un reggae rester suspendue à l’époque de bob Marley, rempli de bonne vibration de sagesse et propageant un vrai message de paix.
Le livity rasta a trouvé sa place en Afrique, de plus les artistes musiciens du reggae africain connaisse l’Afrique, il chantent ses problèmes, et son espoir.
Il y a des mouvement de la musique, depuis l’arrivée des esclaves sur le continent américain : blues, jazz, reggae, house de détroit, hip hop, qui ont changer le paysage musical international, et qui prouve toute la modernité et l’évolution de la musique africaine dans le monde.
Il faut rendre hommage à la force des africains qui dans un contexte historique des plus difficile sont parvenus à retrouver une unité à travers la musique, afin d’influencer les choses dans la bonne direction et de peser sur le monde comme une culture à part entière.
Il n’empêche que l’Afrique développe ses studios grâce à l’engagement de ses reggae men, et n’a rien à envier, dans la qualité de la conception musicale à beaucoup d’autres endroits. Il y a au Ghana ou en côte d’ivoire de nombreuses productions de qualité, et la possibilité d’un tremplin musical pour les talents locaux qui laisse présager beaucoup de bonnes choses pour l’avenir.
On dit qu’il faut rendre a césar ce qui lui appartient, alors rendons à l’Afrique ce qui lui appartient….
Bien sur, le voyage commence en côte d’ivoire, véritable plaque tournante du reggae en Afrique, avec Tiken jah Fakoly, beta Simon, alpha Blondy, Pablo u-wah, ismael Isaac. On poursuit avec le Ghana et rocky Dawuni. On va en suite au Nigeria avec Majek Fashek mais aussi Ras Kimono, mais aussi au Sénégal avec marcel Salem et Niominka bi, et dolé .Direction le Mali avec Manjul qui y a installé son "humble ark studio" mobile, et Tiken Jah qui y vit et produit de nombreux artistes. On part aussi pour le Burkina avec zédess, en Afrique du sud avec Lucky Dube et Ras Dumisani, au Congo de brazaville avec Jahwise , nzela, et en guinée avec Seyni…
Et bien sur dans l’océan indien, avec Jessica Persee pour la réunion ainsi que gondwana. Avec kaya pour l’île Maurice et ras Natty pour Rodriguez et maurice. Et sans oublier les Comores avec Djama et Babadi.
Une liste qui n’est bien sur pas exhaustive…mais qui a le mérite de présenter de grands artistes dont on n’entend parler que trop rarement en europe.
De quoi retourner dans le roots jusqu’au coup avec en plus une touche africaine.
Je voulais remercier tous ceux qui m’on aider en partageant leur expériences de l’Afrique, et de la réalité de la vie sur le continent, et dire un spécial jah bless pour ceux qui exilés dans le monde entier partage une bonne vision du reggae, et du métissage musical avec l’occident.
Cette playlist roots and culture, 100% reggae made in africa, est passé sur les ondes d'une radio que l'on ne souhaite plus citer le 19 février :
Il faut rendre hommage à la force des africains qui dans un contexte historique des plus difficile sont parvenus à retrouver une unité à travers la musique, afin d’influencer les choses dans la bonne direction et de peser sur le monde comme une culture à part entière.
Il n’empêche que l’Afrique développe ses studios grâce à l’engagement de ses reggae men, et n’a rien à envier, dans la qualité de la conception musicale à beaucoup d’autres endroits. Il y a au Ghana ou en côte d’ivoire de nombreuses productions de qualité, et la possibilité d’un tremplin musical pour les talents locaux qui laisse présager beaucoup de bonnes choses pour l’avenir.
On dit qu’il faut rendre a césar ce qui lui appartient, alors rendons à l’Afrique ce qui lui appartient….
Bien sur, le voyage commence en côte d’ivoire, véritable plaque tournante du reggae en Afrique, avec Tiken jah Fakoly, beta Simon, alpha Blondy, Pablo u-wah, ismael Isaac. On poursuit avec le Ghana et rocky Dawuni. On va en suite au Nigeria avec Majek Fashek mais aussi Ras Kimono, mais aussi au Sénégal avec marcel Salem et Niominka bi, et dolé .Direction le Mali avec Manjul qui y a installé son "humble ark studio" mobile, et Tiken Jah qui y vit et produit de nombreux artistes. On part aussi pour le Burkina avec zédess, en Afrique du sud avec Lucky Dube et Ras Dumisani, au Congo de brazaville avec Jahwise , nzela, et en guinée avec Seyni…
Et bien sur dans l’océan indien, avec Jessica Persee pour la réunion ainsi que gondwana. Avec kaya pour l’île Maurice et ras Natty pour Rodriguez et maurice. Et sans oublier les Comores avec Djama et Babadi.
Une liste qui n’est bien sur pas exhaustive…mais qui a le mérite de présenter de grands artistes dont on n’entend parler que trop rarement en europe.
De quoi retourner dans le roots jusqu’au coup avec en plus une touche africaine.
Je voulais remercier tous ceux qui m’on aider en partageant leur expériences de l’Afrique, et de la réalité de la vie sur le continent, et dire un spécial jah bless pour ceux qui exilés dans le monde entier partage une bonne vision du reggae, et du métissage musical avec l’occident.
Cette playlist roots and culture, 100% reggae made in africa, est passé sur les ondes d'une radio que l'on ne souhaite plus citer le 19 février :
Paix à la musique africaine et au bon roots reggae !!!!
2 commentaires:
oh cool un bon reggae webzine !!!
Welcome et merci pour ce commentaire Antoine, cela faisait longtemps que j'en avais pas eut, ça fait plaisir...
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