Embarquez dans cet appel au voyage, plein de groove et d’Afro beat.
- é dangoua
- salamalekoum
- fela
- bombolo sec :
- monguélé
- bénam
- manguélé
- i want néné
- like a little child
- tâchons d’être heureux
- wonderful
Nam de son nom Kounga Kandem, Nam qui veut dire soleil dans son dialecte bandjoun de l’ethnie bamiléké, une des nombreuses tribus du Cameroun d’où Nam est originaire puisqu'il est né le 21 avril 1961 à Douala.
Son premier album "Nam"est sorti chez Sound Vision-concord en 1999.
Son 2° " é dangoua" est celui de la maturité musicale, le 4° morceau de l'album "Africa" a était choisit pour figurer sur la prochaine compilation world musique de Petrol records qui sortira dans environ un mois. "Africa":.
Notre fela francophone a invité sur son album la chanteuse Kali, Gérard Tempia au violon, Dénis TCHANGOU à la batterie et aux percussions, et Moussa Hema au balafon…
é dangoua signifie la marche en avant.
Un très bon album avec les paroles à l’intérieur du cd, un livret qui se transforme en poster quand on la déplie.Un style de musique que Nam préfère appeler Tradurba que world music car notre bassiste pratique les rythmes bamiléké de son Cameroun. Sa musique unit l’Afro Beat et le Makosa. Il chante en bamiléké, en douala, en pigin, en anglais et bien sûr en Français puisqu’il vit en France depuis 1981 où il débarqua à Angers avant de rejoidre le sud-est pour son grand soleil et sa luminosité qui lui rappelle l'Afrique. Il s'installe tout d'abord à Salon de Provence ou il se perfectionne à la basse et apprend la composition puis à Avignon en 1988. Sa musique rythmée prend tout son sens sur scène où on a put le voir évoluer au côté des plus grand comme Burning spear à Montpellier. Il a également joué un concert au Divan du monde à Paris pour la sortie de son premier album et fait le show case de "é dangoua" avec le partenariat de radio Nova au Batofar.
Paroles extrait du morceau Fela :
" Je me souviens de cette cadence endiablée de l’afro-beat, de ces pas
entrecroisés qui nous emmenaient jusqu’à la limite des transes ancestrales.
J’entends encore ces rythmes qui nous emmenaient Du pays des djoudjous ;
Esprits craints et vénérés pour leur jugement impitoyables,
et leurs bienveillances envers les petits. "
Nam, "Salamalékoum" :