lors d'un match de foot, un journaliste posa à bob marley, cette question : " Monsieur Marley, ne trouvez-vous pas étrange de jouer une musique de pauvres et d’être aussi riche ? "
Bob Marley : (dans un survêtement aux couleurs de la Jamaïque, ses nattes dissimulées sous un bonnet de tricot répond) : "I am what I am"
Passion d’enfance commune aux enfants des ghettos de Kingston, seul sujet d’unanimité entre les Wailers et leur entourage, amour du beau jeu argentin et brésilien, ultime distraction pendant son agonie, le football accompagne la vie du « Tuff Gong » jusque dans ses derniers instants.
Partout ou il allait et ceux Malgré ses obligations musicales, robert nesta Marley réservait toujours un temps pour jouer au foot. Ainsi sur la route, ce devint une pratique habituelle que de participer aux parties amicales, souvent contre une sélection de journalistes musicaux ou des équipes d'enregistrement. On peut dire qu'après la musique et les femmes le football est ce qui compte le plus aux yeux de Bob Marley. Il possède cette dextérité au pied par laquelle on reconnaît, au Brésil en Afrique comme aux Caraïbes celui qui a grandi dans le ghetto. "I love music before I love football. If I love football first, maybe that a bit dangerous, because the football is very violent. If a man tackle you hard, it brings feelings o' war!" -"J’aime la musique avant le football. Si j’aimais le football d’abord, ce serait peut-être un peu dangereux, parce que le football est très violent. Si un homme te tacle durement, ça te donne des sentiments guerriers."b.m.
Passion d’enfance commune aux enfants des ghettos de Kingston, seul sujet d’unanimité entre les Wailers et leur entourage, amour du beau jeu argentin et brésilien, ultime distraction pendant son agonie, le football accompagne la vie du « Tuff Gong » jusque dans ses derniers instants...
Partout ou il allait et ceux Malgré ses obligations musicales, robert nesta Marley réservait toujours un temps pour jouer au foot. Ainsi sur la route, ce devint une pratique habituelle que de participer aux parties amicales, souvent contre une sélection de journalistes musicaux ou des équipes d'enregistrement. On peut dire qu'après la musique et les femmes le football est ce qui compte le plus aux yeux de Bob Marley. Il possède cette dextérité au pied par laquelle on reconnaît, au Brésil en Afrique comme aux Caraïbes celui qui a grandi dans le ghetto.
La passion du foot en jamaique : Les colons britanniques ont importé le football aux Antilles à la fin du dix-neuvième siècle. Le premier club officiel se crée en 1893, et rapidement d’autres suivent dans les principales villes de l’île, à Kensington, Melbourne, Kingston, Lucas, et à Saint-Georges. Avant même l’indépendance obtenue en 1962, une sélection nationale dispute des rencontres amicales, principalement contre Haïti et Trinidad & Tobago, voire dans le cadre de petites compétitions régionales comme les Central American and Carribean Games.
Le football s’est surtout développé dans les ghettos des Rude Boys de Kingston, notamment dans celui de Trench town qui voit grandir Bob Marley. La Jamaïque, comme les autres îles des Antilles britanniques, reste majoritairement réfractaire aux sports nobles anglais comme le cricket et le polo.Les wailers, une équipe de foot : Presque tous les membres du groupe adoraient le foot, mais le plus passionné était Alan Skip Cole. Un des meilleurs amis de Bob, il était l’ancien avant centre de l’équipe de Jamaïque, ni plus ni moins le meilleur joueur des Antilles britanniques de tous les temps. Il permettait aux Wailers de suivre un véritable entraînement quotidien. Chaque soir, après le travail au studio, Marley ne manquait jamais la partie de soccer dans la cour du 56 Hope Road. Bob Marley & the Wailers avait équipé le bus de la tournée d'une télé pour qu'il puisse suivre les matchs. A chaque étape, des matchs étaient disputés, parfois très sérieusement, contre des équipes de journalistes locaux ou des membres des maisons de disques, voire des petits clubs. En 1980, pour l’ultime tournée, un véritable tournoi fut organisé en marge d’un concert londonien dans un stade indoor près de Fulham, un des quartiers et club de la capitale anglaise. Bob a également joué avec les joueurs professionnels du FC Nantes comme Henri Michel, du PSG et probablement avec d’autres clubs professionnels lors du passage des Wailers dans leurs villes.
On dit que quand Bob jouait de la musique, le ballon n'était jamais très loin. Il jouait au football presque tout le temps avant un concert, en coulisse ou pendant l’entracte. Et lorsque Bob jouait au football, sa guitare n'était jamais très loin non plus. La musique et le football n'étaient jamais dissociés. En 1978, le « Kaya tour » fut le grand moment footballistique de la carrière des Wailers. Tout fut prévu pour suivre le plus de match possible de la Coupe du Monde en Argentine. Cette année-là, le trophée fut soulevé par l’Argentine. Bob était un fervent admirateur du jeu latin. Lors de la tournée, le passage en Amérique du Sud lui permit de rencontrer le joueur argentin Paulo Cesar. Alors rien d’étonnant à ce que le plus grand concert qu'il ait donné se soit déroulé dans un stade de football : le mythique stade San Siro à Milan. Le 27 juin 1980, devant 100000 personnes. La blessure du « tuff gong » : La légende veut que Bob Marley décède des suites d’une blessure mal soignée provoquée lors d’un match de football. Comme beaucoup d'histoires au sujet de Bob, c’est n’importe quoi. Quand Marley s'est blessé à l'orteil, le cancer était déjà présent dans son corps. La rencontre : Selon les témoignages de journalistes français ayant participé à ce match en 1977 à Paris. La rencontre a lieu Quai Branly,en mai, sur un terrain coincé entre la Seine et l'hôtel Hilton, à la veille de leur concert parisien. D’un côté, Bob Marley, les Wailers et quelques journalistes de la presse rock, en face, une équipe composée de célébrités. Bob Marley est ailier gauche. Les Wailers se répartissent au centre et à l’arrière. mais lors de cette partie Bob Marley s’est blessé au pied. Mi-temps. 1-0 .. La douleur le contraint à sortir du terrain. en fait dès 1975, l’ongle de son gros orteil le faisait souffrir, il avait contractée cette blessure lors d’un match à Trench Town.et c'est au cours de ce match en 1977, à Paris, que cette vieille blessure s'est réouverte lors d'un choc avec un adversaire. Ce n’est pas sa blessure au pied qui mènera Marley à la mort car au moment où Bob s’est blessé à l’orteil, le cancer était déjà présent dans son corps. En fait, la blessure au pied de Bob, en 1977, a aggravé celle contractée deux ans auparavant, et n’a fait qu’empirer son état général, mais elle n’est pas directement à l’origine de son décès.
il fêta, son ultime anniversaire le 6 février 1981, et visionna avec ses amis Junior Marvin, Seeco et Tyrone Downie une émission dédiée au Roi Pelé. Un dernier bonheur avant l’issue fatale, le 11 mai 1981… merci à reggae.fr pour la source.
Deux de ses enfants ont mêmes décidés de lancer une marque de chaussures de sport en son honneur dont le nom est « Bob Marley » Les modèles créés sont bien sûr aux couleurs rasta : vert, jaune et rouge. Le modèle Cool Running fait directement allusion au football puisqu'il ressemble à une basket de foot, les crampons en moins.
"Football is a whole skill to itself. A whole world. A whole universe to itself. Me love it becauseyou have to be skilful to play it!Freedom! Football is freedom." Bob Marley
-" Le football est une aptitude à part entière. Un monde à part entière. Un univers entier en soi-même. J’aime ça parce que tu as besoin d’être doué pour y jouer. Le football, c’est la liberté."
10 novembre 2006
bob marley et le football
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2 commentaires:
salut gismon bienvenue dans notre monde rouge jaune vert
merci de faire faire suivre l'info sur fluoman et sur robert nesta marley
to be continued ...
Bravo pour cette page bien faite et interessante
Voici mon blog sur bob:
www.bobmarley37.skyblog.com
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