1994, les autorités américaines construisent cette barrierre en tôle, haute de 3m et longue de 23 km qui font office de frontière entre la ville mexicaine de tijuana et san diego de californie.3141 km de frontière commune entre le Mexique et les usa, plus de 4000 mexicains candidats à l'immigration seraient mort en onze ans. le 15 mai georges bush a annoncé le déploiement de l'armée à la frontière, et la construction de 600 km de barrière de plus.Washington cherche à étendre le mur à toute la frontière mexicaine.
à Tijuana, le mur est couvert d'affiches, de fresques, et de centaines de croix blanches et cercueils bariolés.du côté San Diego, on l'appelle «the wall». Ce n'est pourtant pas vraiment un mur, plutôt un ensemble de clôtures, caméras, détecteurs, projecteurs, routes et agents. Il est censé bloquer les immigrants clandestins ou les trafiquants de drogue venus du Sud. Au-delà, à Tijuana, on l'appelle «el muro». Il ne protège pas, il tue. Les candidats à l'émigration doivent le contourner, par la mer ou par le désert. Une quinzaine d'entre eux meurent chaque semaine, noyés ou déshydratés.les toles qui forment ce mur ils servaient de pistes d'atterrissage Pendant la guerre du Vietnam, tout un symbole. Ce premier rempart, aujourd'hui rouillé, est doublé d'une seconde clôture grillagée, de 4 m de haut. Lorsque c'est possible, une route passe entre les deux, pour les 4 x 4 des gardes-frontière de la Border Patrol Police.
1994, les autorités américaines construisent cette barrierre en tôle, haute de 3m et longue de 23 km qui font office de frontière entre la ville mexicaine de tijuana et san diego de californie.3141 km de frontière commune entre le Mexique et les usa, plus de 4000 mexicains candidats à l'immigration seraient mort en onze ans. le 15 mai georges bush a annoncé le déploiement de l'armée à la frontière, et la construction de 600 km de barrière de plus.Washington cherche à étendre le mur à toute la frontière mexicaine.
à Tijuana, le mur est couvert d'affiches, de fresques, et de centaines de croix blanches et cercueils bariolés.du côté San Diego, on l'appelle «the wall». Ce n'est pourtant pas vraiment un mur, plutôt un ensemble de clôtures, caméras, détecteurs, projecteurs, routes et agents. Il est censé bloquer les immigrants clandestins ou les trafiquants de drogue venus du Sud. Au-delà, à Tijuana, on l'appelle «el muro». Il ne protège pas, il tue. Les candidats à l'émigration doivent le contourner, par la mer ou par le désert. Une quinzaine d'entre eux meurent chaque semaine, noyés ou déshydratés.les toles qui forment ce mur ils servaient de pistes d'atterrissage Pendant la guerre du Vietnam, tout un symbole. Ce premier rempart, aujourd'hui rouillé, est doublé d'une seconde clôture grillagée, de 4 m de haut. Lorsque c'est possible, une route passe entre les deux, pour les 4 x 4 des gardes-frontière de la Border Patrol Police.
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