Toots and The Maytals "Funky Kingston" : titres qui possèdent une pèche d'enfer, Toots Hibbert a la manière de chanter d'un James brown ou d'un Otis Redding sur " Sit right down", un album de reggae aux fortes influences Rythm and blues,
Le reggae des seventies qui se nourrit de ska possède cette touche qui le rend unique,
Un chef d'oeuvre du reggae, " Funky Kingston" est sorti en 1973 sur le label Island, Mango ( L'album est en fait sorti en 1973)
"Pomp and Pride", "I can't believe", la reprise "Louie louie", "Sit right down" :, "Funky Kingston", le calme "Daddy", "It was written down" :, It was written".
Sit right down
Pomp and pride
Louie, louie
I can't believe
Redemption song
Daddy's home
Funky kingston
It was written down
Toots and the Maytals, qui s 'appellait The Maytals à leurs débuts est le premier groupe a avoir utilisé le terme reggae dans une chanson, c'était En 1968, avec le titre "Do the reggay".
Ils ont commencé en 1960 à Kingston avec FrederickToots Hibbert, Nathaniel Jerry Mathias et Raleigh Gordon, leur premier album "Hallelujah" sous la tutelle de Clement Coxsone Dodd.
"Street corner musicians" "les musiciens du coin de la rue", est le 3° album d'un groupe de raggae original "Inner Visions", "les visions intérieures" qui existe depuis les années 80, sorti en 2003 sur le label Blue Bitch Music, il distille leur reggae roots avec facilité.
Inner Visions était déjà présent aux ïles Vierges bien avant Batch, Midnite...
Tous les titres ont été écris et produits par Inner Viosns, enregistées à Puerto Rico et au Hit Factory de New York.
"Just a matter of time" : "Black sheep", "Street Corner Musicians": "Ethiopia", "Hold On to What You Got", "Ain't the truth"...
Count Ossie: Dès son plus jeune âge, à Bito (là où il est né, dans les montagnes au-dessus de Bull Bay) en Jamaique, il n'y a que la musique qui l'intéresse et il fait déjà parti de la fanfare locale où il jouait du tambour et du fifre. puis sa mère decida de partir pour Rockfort (Kingston Est) au début des années 1940. C'est donc à Kingston que Count Ossie vécu son adolescence, passioné par le tambour, et très rapidement attiré par les discussions des rastas de Salt Lane (Kingston )C'est donc à partir de la fin des années 1940, dans le camp de Salt lane (Kingston Ouest) que le jeune Oswald Williams, alors agé d'à peine 20 ans, commença à penser ce que pourrait être une musique typiquement rasta. A Salt Lane, au côté des rastas, on retrouve la communauté Burru, descendante d'une caste d'anciens esclaves qui tambourinaient pour rythmer. C'est grâce à une danseuse, "Reine de la Rhumba", Marguerita Mahfood, Jamaïcaine blanche d'origine syrienne, que Count Ossie et ses batteurs se firent connaître et reconnaître en tant que groupe, avec un style et une philosophie propres. Marguerita (pour l'anecdote maitresse de Don D qui la tuera quelques années plus tard) était réellement fan de Count Ossie et ne pouvait plus se passer de lui et de son équipe pour ses shows. Sa popularité était énorme et elle ouvrit très largement les portes de la Jamaïque bien pensante au Nayabhingi, qui débordant les cercles Rastas, se mua en une véritable influence musicale. C'est aussi en 1961 qu'accompagné par de jeunes chanteurs de son entourage, les Folkes Brothers, Ossie va sortir son premier tube "O Carolina"(produit par Prince Buster) qui deviendra rapidement un Hit dans les Charts Ska.Cette année est également cruciale pour les rastas, car après plusieurs décennies de persécution, le gouvernement jamaïcain décida sous l'impulsion de Mortimer Planno (rasta de l'ouest de Kingston, mentor de Marley) et surtout après le rapport de l'université de Mona (Smith, Augier, Nettlford, 1960) d'organiser une mission en Afrique. 7 personnes partirent, dont 3 rastas et des membres de l'UNIA et de l'EWF (Ethiopian World Federation). Parmi les rastas on pouvait retrouver Mortimer Planno, mais aussi deux proches de Count Ossie, Brother Filmore et Douglas Mack, c'est dire l'importance qu'avaient pris les rastas de Wareika, plus tolérants, et plus centrés sur l'éducation que les rastas de l'Est. Le grand moment de ce voyage fut la visite en Ethiopie où ils rencontrèrent sa majesté Haile Selassie I, qu'ils honnoreront au son du Nyahbingi, cinq ans plus tard, lors de sa visite en jamaïque.Durant les années 60, la formation de Count Ossie enregistrera quelques 45T et acceuillera de plus en plus de musiciens, mais aussi des danseuses. La formation comptera alors jusqu'à une vingtaine de membres et deviendra un lieu d'expression, un centre d'expérimentation.A la fin des années 60 les musiciens du Comte fusionnent avec les "Mystics", la section de cuivre de Cedric "Im" Brooks, et deviennent désormais les "Mystic revelation of rastafari". Depuis la venue de Haile selassie I en 1966, puis les évènements de 1968, la Jamaïque a bien changé et l'idéologie rastafari est en vogue ; les Mystics Revelation sont souvent invités à se produire pour les célébrations officielles lors des visites des chefs d'état. Le groupe sera également récompensé deux fois au Carifesta, qui est un concours musical des caraibes, par 2 médailles d'or, mais gardera toujours son tempo de départ, le Nayabhingi. Durant les années 70, Count ossie achète un terrain à Wareika et y fonde un centre communautaire, comprenant une école et une bibliothèque. A partir de là, les mystic Revelation ne se produiront que dans quelques concerts et privilégieront surtout le développement du centre de Glasspole Road, ce qui aura permis aux frères de rester à l'écart des violences politiques.En 1972, les Mystic Revelation of Rastafari enregistrent , le premier véritable album de Nayabhingi jamaïcain : "Grounation", qui sera suivit en 1975, un an avant la mort accidentelle du Comte, par "Tales of Mozambique"Le 18 octobre 1976, Oswald Williams se tue au volant de son camion alors qu'il raccompagnait des musiciens après un concert. Malgré la mort du Comte, les "Mystic Revelation of Rastafari" ont continué et continuent encore actuellement à jouer et à se produire dans le monde entier, également à faire vivre le centre culturel. tambours nayabinghi :
ces 3 tambours sont accompagnés de shaker et joués lors des "groundnations", rythmes burru et nayabinghi, ces rythmes sont joués à la vitesse de 60 bpm, la vitesse du coeur au repos. pour écouter Count Ossie and the mystic revelation of rastafari :"poem" : et "wicked babylon" :. "Education, for all the Nations..."
Le Jazz est une musique qui puise son origine dans la rencontre de deux conceptions différentes de la Musique: la conception africaine et la conception européenne. c'est un lent métissage culturel qui est à l'origine du jazz la musique afro-américains et l' euro-américains ont fusionné petit à petit, au gré des rencontres entre les deux communautés.( rencontre et choc des civilisations dut à l'esclavage et à la déportation de milliers d'Africains pour le travail des colonies.)c'est au XIX° et XX° siècle, que le déplacements de la main d’œuvre noire, libérée de l'esclavage en 1865, vers les grands centres urbains en pleine expansion créa ce mélange musical qui a donné naissance à une nouvelle forme de musique : le jazz. steve coleman" saudade" dewey redman"tarik" : omar sosa"bembon" :
"Free Africa" est sorti en 1979 chez Frontline et réédité en 2004 par Virgin records avec cette pochette (ci dessus).
16 titres de roots reggae emmenné par la voix Baryton de Grant Norman et les choeurs de ses deux frères Ashton et Ralston Grant , une compilation de 3 albums : "Love", "Praise Jah" et "Countrymen".
dont les titres phares : "Solid as a Rock" , "Free Us", "Come home":qui montre l'influence du Gospel dans le reggae des Twinkle Brothers, "Never get burn":
"Love" :, "Free africa", "I love you", "Shu be dup"...
Don't Want To Be Lonely Anymore
Free Africa
Love
I Love You So
Gone Already
Solid As A Rock
Come Home
Shu Be Dup
Patoo
Never Get Burn
Dread In The Ghetto
Watch The Hypocrites
Jahovia
Since I Threw The Comb Away
One Head
Free Us
Les twinkle Brothers est un groupe de reggae Jamaicain qui existe depuis les années 1960, composé du chanteur Norman Grant et ses deux frères Ashton et Ralston Grant à la guitare et au choeur.
Les trois frères viennent nés des ghettos de Falmouth à Kingston. Le groupe continue d'arpenter les scènes avec énergie, et une jeunesse éternelle.
La cuisine Ital musicale du Prince far I, dub poete par excellence "Silver and Gold" c'est 19 titres enregistrés de 1973 à 1979 et produit par Prince far I.
Une compilation de single qui étaient sorti sur son label Cry Tough et qui ont été choisit par Blood and Fire en 2005.
Les racines du raggamuffin, prolongement d'une tradition initié par Prince Ruff. Un dub lourd, une voix lourde, des paroles qui relève de la mystique Rasta, des chaleurs de Spanish Town et de Waterhouse.Prince far I possède son propre style qui le différencie de tous les Djs.
"Johnny Get Worse " :, une reprise des Slickers "Johnny too bad" où Prince Far I toaste dessus.
"Yes Joshua", "let Jah arise" : "Jah" , "things Nuh bright", "Who have eyes to see" :
Johnny Get Worse
Yes Joshua
Let Jah Arise
Jah Dub Version
Silver & Gold
Silver & Gold Version
354 Skank
354 Version
Things Nuh Bright
Equality Version
Who Have Eyes To See - Errol Holt
Ears To Hear Version
Talking Rights
Talking Rights Version
No More War
War Is Over
Gimme - Errol Holt
Gimme Version
Yes Yes Yes - Errol Holt [12" Mix]
Prince Far I de son nom d'origine Michael James Williams, est né à Spanish Town en Jamaïque en 1945. Il a apprit l'art du toast (un parler entre les paroles d'une chanson) et du dj dans les sound system du ghetto de Waterhouse. Son nom d'artiste d'origine était King Cry Cry. Prince Far I a été découvert par Bunny Lee qui produira son premier titre 'The Great Wooga Booga'' avant qu'il glisse dans les mains de Coxsone.
Dans son premier album " Psalm for I" sur des riddims de Lee Scratsh Perry et Striker Lee, Prince Far I chante des versets de la Bible.
Prince Far fut assasiné le 15 septembre1983 en Jamique, une année avant sa 40° année.
Un bon album de roots reggae sorti en 1976, produit par King Tubby's pour Channel One.
L'album est également sorti en 1988 sur le label Heartbeat. C'est son 2° album. Junior Byles, dans les années 70 était aussi connu que Burning Spear, malgrès des problèmes de santé lié à une dépression qui a accompagné la disparition d'Hailé Sélsassié depuis 1975, sa voix magique fait encore maleur. A la fin de l'année 1976, année d'enregistrement de l'album, Junior avait presque disparu de la scène musicale.
" A place called Jamaica" : "Beat down Babylon" : enchainé avec son tube "Curly locks" qui a été reprit par beaucoup de reggaeman tel Jacob Miller, "Jordan", "Burrie boy":, "Lorna Banana", "Oh Carolina"
A Place Called Africa
Beat Down Babylon- Curly Locks
Mustic Revelation
Jordan
Burrie Boy
Lorna Banana
I Ain't Got It
Oh Carolina
Ain't Too Proud To Beg
Les pochettes d'albums de "Jordan" différentes qui sont sorties :
Junior Byles est une emblême des racines du reggae, un destin tragique à la Jamaicaine assimilé à une voix unique dont la soul nous laisse des témoignages uniques de l'age d'or du reggae.
Née et élevée à Jackson, dans le Mississipi, cassandra wilson accompagne en chantant son père guitariste alors qu'elle n'est qu'une enfant. Son diplôme d'information acquis, elle obtient un poste à la télévision locale, mais n'est pas épanouie. Elle quitte alors sa ville natale et se rend à New York où son rêve devient réalité. La chanteuse démarre au sein du M'BASE du saxophoniste Steve Coleman. Elle y côtoie de nombreux musiciens de jazz de tous horizons. Son registre est teinté des périodes musicales qu’elle a traversée , avant-garde, postbop, postfree, funk, rap. On dit de sa voix qu’elle est « puissante, au timbre clair et juvénile, une maîtrise rythmique qui la porte à s’adapter aux environnements les plus risqués et aléatoire ». Je rajouterai qu’elle n’es pas très loin d’une Nina Simone plus moderne et joyeuse. Elle est insaisissable, et paradoxalement incontournable. son album 'rendez vous est l'un des meilleurs, la voix de cassandra avec le pianiste français Jacky Terrasson. Voix, piano, contrebasse et percussion : une composition simple, avec un rythme lent, "old devil moon" : « Oui, ce disque est un peu nostalgique, si vous voulez. En fait, je ne fais pas de différence entre passé, présent et futur... La musique est intemporelle. Les vérités que nous trouvons dans le passé sont importantes pour aujourd’hui et pour demain. Tour cela n’est pas conscient, j’essaie juste d’établir des connexions entre des périodes. » « Si je suis retournée là-bas avec mes musiciens, c’était pour créer un environnement, les mettre au contact de la culture locale, du climat et du tempo, pour que leur jeu s’en ressente. Les gens absorbent leur environnement, leur psychisme s’en ressent toujours... Si nous étions restés à New York, nul doute que le disquue eût été différent. La musique n’est pas qu’une histoire de notes : l’attitude, le goût, les odeurs, tout ça va dans le corps de la musique. Ça ne se mesure pas, c’est là... » cassandra wilson. pour écouter "closer to you " :
Le premier album d'Israel Vibration "The Same Song" est sorti en 1978 sur le label Top Ranking enregistré au studio Channel One.
Le célèbre trio vocal Jamaicain composé de Lascelle "Wiss" Bulgin, Albert "Apple" Craig (jusqu'en 1996) et Cecil "Skelly" Spence.
L'album contient 10 titres plus 4 dubs et remixes, dont leur plus grand classique le célèbre "The same song" :titre éponyme de l'album qui ouvre le bal, du parfait Roots reggae à l'image de "Why Worrie" :
"Crisis", "Lift up your conscience", "Prophet as a rise" : dont voici les paroles :
"Said Jah Prophet has arise
prophet has arise
he's gonna hit 'em by surprise
for them to centralize
Hit 'em by surprise
they've got to organize
Jah Prophet has arise!
Prophet has arise
He's
he's got a dred look in his eye
dred look in his eyes
Dred look in his eyes
for them to realize
Prophet has arise!"
The same song
Weep & mourn
Walk the streets of glory
Ball of fire
I'll go through
Why worrie
Lift up your conscience
Prophet has arise
Jah time has come
Licks & kicks
Crisis (Discomix)
The Same Song (12" Version)
Weep And Mourn (12" Version)
Crisis Dub
Les 3 chanteurs d'Isreal Vibration ont la Polio ( maladie dont le nom savant est poliomyélite) et ont grandit ensemble au "Mona Rehabilitation Center". Il marchent à l'aide de béquilles, lorsque il embrasse la foix Rasta laisse leurs dreadlocks poussés, ils sont exclus du centre, et recueillis par la communauté Rasta des 12 Tribus d'Israel "the Twelve Tribes of Israel".
L'album "The Same Song"est sorti sous plusieurs pochettes différentes (ci dessous )
L’album " Gansta Blues " de tanya stephens a été produit le label Tarantula Records et est sorti en avril 2004 chez VP records.
Un gros album de ragga/dancehall dans la lignée de Sister Carol en plus Gansta, une référence en la matière, un album complet qui place Tanya sur orbite.
Avec des featuring de Wyclef Jean et Spragga Benz.
Beaucoup de grosses tunes sur l'album, quasiment toutes :
" way back" : "tek him back", "Gansta", "can breathe"
"I am a woman" :
"Sound Of My Tears" , "The Other Cheek" , "this is love"
“I no be gentleman at-all, at-all, I be African-MAN, original!”Fela Anikulapo Kuti, de son vrai nom Fela Hildegart Ramsome, alias "the black president" est né à Abeokuta au Nigeria en 1938(1997). Chanteur, compositeur, saxophoniste, trompettiste, pianiste et homme politique, il fut l'un des artistes africains les plus controversés à cause de l'influence qu'il avait sur la politique et sur les gens et des plus puissant par sa musique et son combat. Il est également un créateur génial, à l'origine de l'afro beat, mélange de jazz, de funk et de musique traditionnelle africaine. écoutez "authority stealing" :(part 2).ce documentaire est à voir absolument, tellement il nous plonge dans la vie de Fela et du Nigeria, Fela musique au poing réalisé par j.j.Flori.Fela créa son propre style musical. Style caractérisé par une rythmique lancinante dérivée de la musique traditionnelle Yoruba, accompagnée d'une section de cuivres inspiré du jazz : l'Afro beat . Fela chantait en Pidgin English (anglais métissé) et en Yoruba pour connaitre la vie de Fela kuti et avoir des renseignements sur les yoruba.
"Haile I Hymn" (Chapter One) est le premier album d'Ijahman, il est sorti en 1978 sur Island Records.
4 titres dont deux qui font plus de 10 mn, produit par Chris Blackwell et Robert Ash.
Dont ses plus grand classiques" Jah heavy load" :qu'il a écrit en prison et "I 'm a Levy". Ijahman nous emmène dans son reggae mystique, sa voix pleure.
Jah Heavy Load
Jah Is No Secret
Zion Hut
I'm a Levi
Trevor Sutherland de son vrai nom, est né le 19 juin 1946 à Trenchtown en Jamaique.
Il enregistre ses premiers morceaux grâce au bon vouloir de Duke Reid puis il va vivre en Angleterre.
Ijahman levy a choisit son nom alors qu'il était en prison (3 ans), il trouva refuge dans la lecture de la Bible et dans Rastafari et prit le nom d'une des 12 tribus d'Israel : les lévi.
abaji un musicien à découvrir qui joue la musique du désert et qui sera en concert au festival des musiques du monde ( arles les suds).4 album, instrument : Guitare, guitare-sitar, guitare-harp, bouzouki, oud, bamboo, saxophone, flûte, harmonica, daff et percussions. un seul musicien : Abaji, musicien nomade chante ses poèmes en arabe sur sa double guitare qu'il joue avec l'archet histoire de la guitare d'Abaji: "En novembre 2001, j'étais en tournée en Allemagne. Je me retrouve à jouer dans un club dans un petit bled : Ober Otter Bach...J'avais déjà joué dans ce lieu et j'avais sympathisé avec le patron, Alfons. Donc, j'arrive, je pose mes instruments sur scène, je m'assoie pour boire un thé, schwarz tee, bitte, en allemand dans le texte, et je vois accrochée à un mur, une espèce de guitare-harpe toute fracassée. Le chevalet en l'air, des cordes dans tous les sens... Je m'approche de la bête et je compte les cordes.... Dix sept !D'habitude le thé ne fait pas ce genre d'effet ! Je me retourne vers Alfons et je lui dis : « C'est quoi, ça ! ». Il me dit : "Une très vieille guitare traditionnellement jouée dans les musiques autrichiennes et allemandes, mais comme tu le vois, elle est complètement kapput ! ». Quand il dit complètement, c'est complètement ! Le chevalet avait cédé en emportant une partie de la table d'harmonie à cause de la tension des cordes basses. J' oubliais de vous dire que cet instrument a deux manches. Un manche avec six cordes, normal, et un autre manche avec les onze autres cordes. Un truc du diable ! Je dis à Alfons : « Si tu veux vendre cet instrument un jour, j' achète ». Il me répond : « Abaji, mais l'instrument est mort, rien à faire avec ». J'insiste en lui disant que j'avais une petite idée derrière la tête... Vous vous en doutez déjà mais à la fin du concert, Alfons me dit :Abaji, voilà pour toi, tu nous as fait passer d'excellents moments, si tu peux en faire quelque chose ». Je ne vous dis pas, ou plutôt, je vous dis l'effet que ça m'a fait ! Une chaleur intérieure comme quand on revoie une amoureuse... Vous voyez ce dont je veux parler ? Eh ben, la même chose !J'ai ramené cet instrument à la maison et il est resté dans mon studio une dizaine de mois avant que je n'aie cette idée. Au lieu de mettre des cordes graves comme le font les autrichiens, je demandais à mon luthier de mettre des cordes de sitar. Six cordes accordées en DADGAD et les autres en Ré, La et Sol multiples. Une sorte de harpe, parce que je peux jouer ces cordes enarpège harpisants, je dirais même arabisants, et une guitare (NDLR le sillet du chevalet a été enlevé ce qui donne un son frisé type sitar). Mais le summum, c'est que ces onze cordes répondent naturellement avec les six cordes. Il se passe un dialogue inoui et unique. Dans "Oriental Voyage", j' ai joué « Nour el Nar » sur cet instrument, ainsi que « Blue desert ». J'allais oublier, sur le dos de la tête, il y a une petite plaque : Carl Gottlob Schuster Junior 1824... Oui, vous avez bien lu, mille huit cent vingt quatre !"ABAJI , écoutez "baalback" :et "tle te " :
food for soul! Ital est un terme employé par Rastas, dérivé d'"essentiel",I-tal (vital, naturel), qui signifie une façon de vivre normale et saine. En outre vous devez prendre soin de votre corps. Le corps est la chapelle. Ital est généralement un régime vegétalien, même si un certain Rastas mangent des poissons. Certains interdisent le sel, certains pas omelette i-tal : Ingrédients:muscade fraiche , 3 cueillère d'huile végétale, banane, oignon préparation :Ecraser les bananes en ajoutant de l'eau jusqu'a ce que le mélange soit homogène. Ajouter l'oignon, la farine et la muscade. Chaufferl'huile dans une poele , verser le mélange dans l'huile bien chaude. Retournez l'omelette pour dorer les deux cotés . Servez bien chaud ! Jus de carotte épicé: Ingrédients :75 cl de jus de carotte , 3 citrons verts , 2 cuillères à café de cannelle,1 doigt de gingembre frais préparation :Mélangez 75 cl de jus de carotte avec le jus de 3 citrons verts. Dans un verre d'eau, versez la cannelle, le gingembre haché finement. Faites bouillir 10 minutes et mélangez au jus de carotte et citron. Ajoutez du sucre et mettez au réfrigérateur. Gâteau sucré de patates douces: Ingrédients:700 gr à 950 gr de patates douces, 3 tasses de lait de coco, 1/2 cuillère à café de cannelle,1/2 cuillère à café de gingembre en poudre, 1/2 cuillère à café de noisettes en poudre,1 et 1/2 cuillères à café d'essence de vanille, 1 cuillère à café à 1 et 1/4 de cassonade, 2 tasses de raisins secs 1/2 à 1 cuillère de farine préparation :Réduisez en purée les patates douces avec le lait de coco dans un saladier. Ajoutez-y les autres ingrédients et mélangez. Versez dans un plat et mettez au four à 150 °C pendant 1/2 heure. Le gâteau est meilleur froid : à manger au moins 5 heures après sa cuisson. et n'oubliez il faut évitez les boites de conserve, les aliments modifiés , déshydraté et ogm ... les aliments carnés..., ce qui est vivant te rends vivant, ital is vital !
Un très bon album de Winston Mc. Anuff "Diary of the Silent Years" sorti en 2002 par Makasound. Cet album réunitdes titres allant de 1977 à 2000.
un reggar roots efficace et poignant, avec Le magnifique titre "Head Corner storm" :, "secret" :, l'acoustique "Sun setting in the sea" et "fear" qui ouvre l'album.
FEAR
HEAD CORNER STONE
SECRET
PEACE
SUN SETTING IN THE SEA
I DO LOVE YOU
MALCOLM X
BURNING BRIDGES
GET THEE HENCE SATAN
SUN SETTING IN THE SEA (Acoustic Version)
FEAR DUB
DUB CORNER STONE
SECRET DUB
PEACE DUB
DUB SETTING IN THE SEA
I DO LOVE DUB
X DUB
BURNING DUB
Winston dont le père est pasteur est né en 1957 dans les collines de Jamaïque (Christiana).
Il rencontre en 1999 Nicolas et Romain qui vont formé Makasound en 2001 qui va relancer sa carrière en rééditant deux de ses albums dont ce "Diary of the Silent Years" .