Un reportage d’Arnaud Blin et Daniel BrossetUne Production France 3 – Faut pas rêver : c'était vendredi.
Durant la tragédie de la traite négrière, des millions de femmes et d’hommes quittèrent leur terre natale pour un voyage sans retour.
Afin que la Mémoire de ce drame perdure, l’Unesco édifia la porte du non retour.
Afin de revenir sur la terre de leurs ancêtres, Certains durant quelques semaines seulement, pour un pèlerinage.
D’autres pour toujours.
et c’est le cas de la famille Jah.
Venue de Guadeloupe voici 11 ans, elle ne cesse de militer en faveur du rapprochement entre les Africains et la diaspora noire.
Et pour, comme elle le dit, que la « Porte du non retour » deviennent la « Porte du Grand Retour ».
en effet c'est le 15 avril 1997, que la Sainte famille JAH, première unité de la Diaspora francophone volontaire au Retour a foulé le sol béninois en provenance de Guadeloupe. (Composée du Père JAH ELIEJAH ADANJAH , de la Mère JAH EVEJAH , de leurs quatre enfants, et d'une équipe de jeunes volontaires JAHMILFAJAH cette première unité a entamé depuis cette date l'expérience du Retour pour la réimplantation sur le sol ancestral.
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